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Added on the 15/07/2025 17:44:06 - Copyright : Numerama
Il y a quelques années, Starlink était vu comme un pari insensé d’Elon Musk. Aujourd’hui, c’est un acteur majeur des télécoms. Présent au MWC de Barcelone, la société expose fièrement ses antennes et signe même un contrat avec Air France : d’ici 2025, les passagers bénéficieront du Wi-Fi gratuit en vol. Starlink concurrence désormais Orange et SFR, avec une adoption croissante en France et une présence dans des enseignes comme Fnac. Mais cette montée en puissance pose des questions de souveraineté numérique. Le risque d’un monopole spatial se dessine, alors que Musk capte progressivement les fréquences satellitaires et élimine la concurrence.
Elon Musk fait deux saluts Nazi à l’investiture de Donald Trump. On vous explique. Durant la fête organisée après la cérémonie d’investiture du nouveau président américain, Elon Musk est apparu sur scène et a tenu un petit discours. À cette occasion, le futur responsable du département de l’efficacité gouvernementale a fait… ce geste. Deux fois. Pour beaucoup d’Américains, c’est un choc, mais pas une surprise. Ce n’est pas la première fois qu’Elon Musk est impliqué dans des incidents antisémites, comme l’indique Masha Pearl, directrice exécutive de «Blue Card», une fondation qui soutient les survivants de l’Holocauste, dans le New York Times. Bien que des organisations et internautes estiment qu’Elon Musk a fait un « geste maladroit » et qu’il voulait juste mimer « mon coeur va vers vous », plusieurs spécialistes du nazisme ne bégaient pas : c’était clairement un salut fasciste. Le 9 janvier dernier, Elon Musk avait déjà commenté le nazisme, en collaboration avec la coprésidente du parti Alternative pour l’Allemagne, un parti politique d’extrême droite. Ils avaient entre autres présenté Hitler comme un « communiste ». Il a aussi plusieurs fois exprimé sur sa plateforme que selon lui, seul le parti Alternative pour l’Allemagne peut sauver l’Allemagne. Elon Musk a réagit sur X : il estime que c’est un encore coup tordu de la part de ses détracteurs, et qu’il faut changer d’attaque car celle-ci a été trop utilisée.
Le Tesla Model Y étant maintenant restylé, mettons ses caractéristiques face à celles de l’ancienne génération. Le SUV adopte un look moins consensuel et progresse légèrement sur le terrain de l’autonomie. C’est LA nouveauté qui était attendue (et qui l’est encore un peu) : le Tesla Model Y est enfin passé par la case restylage. Une mise à jour pour le moment uniquement visible sur le site chinois, que vous avez pu découvrir (très) tôt ce matin sur Numerama. Mais alors, que donne cette toute nouvelle version baptisée Juniper face à l’ancienne commercialisée depuis 2020 ? C’est ce que vous allez découvrir. Design : une face avant plus affirmée Quand l’ancien Model Y était une Model 3 (1ère génération) au format SUV, la nouvelle mouture Juniper se détache plus largement de la berline. Exit les gros blocs optiques, un fin bandeau LED semblable à celui que l’on retrouve sur le pick-up Cybertruck vient se greffer sur son museau, tandis que l’éclairage principal est assuré par des projecteurs discrètement intégrés. Le bouclier délaisse certaines de ses rondeurs pour adopter un look plus affirmé, comme en témoigne l’arête au-dessus de la prise d’air. Le profil évolue peu. La suite des changements extérieurs se trouve à l’arrière avec l’apparition d’un éclairage « diffus ». L’optique monobloc « abrite » la lumière qui est diffusée contre le hayon. Dans la forme, le feu reprend le dessin de la Model 3 Highland. Pour ce qui est des dimensions, le nouveau Model Y est plus long de 4 cm, mais conserve une largeur et une hauteur identiques. Enfin, un nouveau dessin de jantes fait son apparition. Dans l’habitacle, le Tesla Model Y Juniper reprend trait pour trait celui de la Model 3 Highland : planche de bord, éclairage d’ambiance et écran de 8 pouces pour les passagers arrière. En revanche, le SUV ferait un retour arrière des plus louables avec la présence d’un commodo pour les clignotants ! Une remarque à prendre avec des pincettes étant donné que le modèle n’a pas encore été officialisé sur tous les marchés. Dommage que ce revirement n’ait pas été poursuivi avec les commandes de phares, d’essuie-glaces et de sélection de vitesse, déplacées sur l’écran tactile. L’habitacle promet également d’être plus silencieux d’après Tesla grâce à un vitrage plus soigné au niveau de l’acoustique. La poupe du véhicule est désormais fabriquée d’un seul bloc (gigacasting) au lieu de 70, ce qui est censé réduire aussi les bruits pendant la conduite. À confirmer. Features et autonomie : entre 11 et 18 km de plus Ce restylage s’accompagne naturellement d’évolutions mécaniques. Le Model Y 2025 soigne son autonomie avec 466 km (WLTP) en version Propulsion contre 455 km pour la même version encore au catalogue chez nous. La déclinaison Grande Autonomie à transmission intégrale passerait de 533 km à 551 km (WLTP). Encore une fois, attention, ces informations sont données par le configurateur d’Hong Kong. Même si cette région utilise comme nous la norme WLTP, le type de batterie entre les modèles assemblés en Chine et en Europe pourrait varier, ce qui a logiquement une influence sur l’autonomie. On voit également sur les photos une caméra sous le pare-choc (le site de Tesla parle de caméras au pluriel à l’avant), un frunk qui pourrait être motorisé (à confirmer) et des sièges arrière motorisés qui basculent pour être parfaitement plats et proposer un coffre gigantesque. C’était le cas avec le restylage de la Model 3, il est difficile de ne pas imaginer une augmentation des prix du nouveau Model Y. En Chine, pour les deux versions citées précédemment, les tarifs ont pris respectivement 1 800 € et 1 600 €. Il faudra se montrer un peu patient et attendre l’officialisation du modèle sur notre marché pour connaître définitivement les prix.
Un étrange objet céleste a été aperçu en France le soir du mardi 27 août 2024. Météore, bolide, satellite Starlink ? La source de ce phénomène très lumineux dans le ciel a finalement pu être identifiée. Étoile filante, satellite, ovni ? Il était environ 21h30, le soir du mardi 27 août 2024, lorsque de nombreux internautes ont commencé à publier sur les réseaux sociaux des images d’un phénomène céleste inhabituel. Rapidement, les témoignages décrivant cette lumière singulière se sont multipliés. Beaucoup ont décrit cet objet céleste étonnant comme une étoile filante très lente, traversant le ciel pendant une dizaine de secondes et se fragmentant en plusieurs morceaux. « Incroyable, on vient de voir passer un genre de météorite dans le ciel mais qui allait comme au ralenti et qui s’est séparé ensuite en plusieurs morceaux comme s’il avait explosé ! » « Est-ce que je suis la seule à avoir vu ça ? Une météorite dans le ciel ? »
Le 17 novembre, le conseil d’administration d’OpenAI a annoncé qu’il allait licencier Sam Altman, le CEO et cofondateur de l’entreprise qui a permis de créer ChatGPT. Pourquoi ? Personne ne le sait vraiment. Depuis, la fronde s’organise dans l’entreprise, alors que le conseil d’administration semble plus isolé que jamais. Sam Altman a rejoint Microsoft et menace de couler OpenAI, en récupérant ses employés.