Description
Added on the 05/08/2025 18:10:01 - Copyright : Numerama
C'est un téléphone pour animaux de compagnie. Oui, c'est super bizarre, mais regardez-moi ça ! Le concept est simple : un petit boîtier s'accroche au collier d’un chien ou d’un chat et permet, à tout moment, de l’appeler depuis une application. Si vous êtes au travail et que vous voulez le rassurer, vous pouvez lui envoyer un message avec votre voix. L’une des particularités amusantes de ce produit, c'est que si l’animal bouge, cela peut automatiquement déclencher un appel sur votre téléphone ou vous envoyer une notification. Par exemple, si un chien commence à stresser, l’appareil peut détecter son agitation et déclencher un appel vers son propriétaire. Vous recevez alors l’appel et pouvez discuter avec lui. Comme ça, c’est vrai que ça ressemble à un gadget. Mais quand on a un jeune animal à la maison, on s’inquiète souvent pour lui et on aimerait savoir dans quel état on va le retrouver en rentrant le soir. Grâce à ce dispositif, on peut se rassurer un peu et même lui apprendre à interagir avec nous. Bon, il y a aussi de grandes chances que l’animal n’en ait rien à faire et qu’il ignore complètement le son, mais ça reste une innovation amusante. Imaginez un jour où chaque chien ou chat aurait son propre téléphone !
Un grand mystère des chats a été percé : on sait enfin comment ils ronronnent. Jusque-là, le ronronnement posait problème aux biologistes. Ça semblait impossible que ce son soit produit par les cordes vocales d’un chat, car c’est un son basse fréquence, c'est-à-dire très grave. Normalement, ce type de son peut être entendu seulement chez les gros animaux, pas les petits, car il faut des longues cordes vocales. Pour vous donner une idée : Une voix d’homme, c’est 140 hertz. Un ronronnement va de 20 à 30 hertz. En fait, la fréquence d'un ronronnement est davantage compatible avec un éléphant qu'avec un petit félin ! Mais des bioacousticiens ont découvert des masses inhabituelles des tissus fibreux incrustés dans les cordes vocales des chats. Ces coussinets avaient déjà été vus, mais personne n’avait trouvé leur fonction. C’est grâce à ces masses que les chats peuvent ronronner. En gros, ils rendent les cordes vocales plus lourdes et augmentent leur densité, ce qui leur permet de produire des sons très grave.
Les Russes ont envoyé une véritable arche de Noé dans l’espace. C’est en tout cas le surnom attribué à la mission spatiale Bion-M n°2. Et ce n’est pas étonnant lorsqu’on se penche sur son équipage un peu particulier : 75 souris, 1 500 mouches, des algues, des graines, des microbes et d’autres organismes vivants ont été placés en orbite pendant 30 jours dans une capsule spatiale. L’objectif était d’étudier comment tous ces colocataires réagissent à la radiation, à la gravité et aux rayonnements cosmiques, aussi bien d’un point de vue biologique que reproductif. Saviez-vous que la vie sur Terre pourrait avoir une origine extraterrestre ? C’est en tout cas l’hypothèse que cette expérience tente d’explorer, une théorie connue sous le nom de panspermie. Ce “zoo spatial” devait également permettre d’étudier si des micro-organismes transportés par un astéroïde ou une comète pourraient donner naissance à la vie sur d’autres planètes. Enfin, la mission visait aussi à ouvrir la voie à de futurs voyages humains de longue durée. Comme son nom l’indique, Bion-M n°2 avait un prédécesseur. Dans celui-ci, on retrouvait notamment des lézards, des gerbilles de Mongolie et même des escargots. De quoi se demander quels seront les prochains animaux à voyager dans l’espace.
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Cette étude vient ajouter une nouvelle pierre à l’idée que l’instinct de sauvetage, ou la volonté de sauver d’autres individus de la même espèce, est inné chez les mammifères. Les souris semblent en effet capables de déployer de « premiers soins » à une autre souris inconsciente. Sauver les siens n’est pas une attitude qui n’appartient qu’aux êtres humains, loin de là. Dans des travaux publiés le 21 février 2025, des scientifiques montrent comment les souris cherchent à réanimer d’autres souris inconscientes, en procurant ce qui s’apparente à des « premiers soins ». La vidéo prise par l’équipe de recherche, et publiée par le New Scientist, est fascinante. Mais qu’y observe-t-on vraiment ? « Elles commencent par renifler, puis par toiletter et enfin par une interaction physique très intensive », explique Li Zhang, principal auteur du papier de recherche. Cette interaction consiste à lécher les yeux, puis à ouvrir la bouche de l’autre souris et même à lui tirer la langue. Ce, afin de libérer le passage de l’air. Dans l’un des tests, les auteurs ont placé une balle en plastique — non létale — dans la bouche de la souris inconsciente. Résultat ? L’autre souris a retiré cette balle dans 80 % des cas ; et les chercheurs relèvent que, s’ils avaient laissé plus de temps aux souris, ce chiffre aurait pu augmenter. Les souris savaient également bien faire la distinction entre un pair inconscient et un pair simplement endormi ; en revanche, elles tentaient aussi le sauvetage sur des pairs décédés. L’ocytocine : un instinct « aidant » chez tous les vertébrés ? Cette observation étant accompagnée d’une étude neurobiologique du comportement de ces souris, les scientifiques ont pu déterminer que ces « premiers soins » sont reliés à deux régions du cerveau et à la libération d’une hormone spécifique, l’ocytocine. Celle-ci est naturellement présente chez les mammifères — et une grande part des vertébrés. Elle est parfois décrite comme l’« hormone de l’amour » ou « hormone de l’attachement », car elle joue un rôle clé dans les comportements sociaux de lien. De fait, les auteurs relèvent dans leurs conclusions que les réactions d’urgence visant à réanimer des pairs inconscients sont certainement « un comportement inné largement présent chez les animaux sociaux ». Ce comportement joue lui-même « probablement un rôle dans l’amélioration de la cohésion et de la survie du groupe ». Et en effet, cette attitude qui consiste à essayer de sauver un autre individu a été identifiée par exemple chez les éléphants, les chimpanzés, les dauphins.