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Added on the 03/12/2019 18:15:53 - Copyright : Le Républicain Lorrain
Tous les mardis, le Super U de Châtenois organise deux heures paisibles dans le magasin. De 13 h 30 à 15 h 30, la musique est coupée et certaines lumières sont éteintes. L’opération avait d’abord était mise en place dans un autre magasin Super U dans l’Ouest de la France à la demande d’une maman d’un enfant autiste. De nombreux clients apprécient également d’être au calme pour faire leurs achats.
Des chercheurs de l’Institut néerlandais de neurosciences et de l’Université de Lausanne ont découvert que le cerveau avait un pattern assez spécifique pour se sortir du sommeil. Ils l’ont décrit dans une étude publiée le 16 juillet 2025 dans la revue Current Biology. Ce nouveau modèle pourrait permettre d’aider et d’améliorer la recherche concernant les troubles du sommeil. Pour étudier ce phénomène, les chercheurs ont posé 256 électrodes sur la tête d’une vingtaine de participants et ont analysé, au total, l’activité électrique cérébrale dans plus de 1 000 passages du sommeil au réveil. Les résultats révèlent un pattern, un schéma qui se reproduit à chaque nouvel éveil. Ce schéma diffère en fonction du type de sommeil (profond ou paradoxal) dans lequel nous nous trouvons. Une caractéristique demeure constante cependant, la vague de sommeil part de l’avant du cerveau (des zones centrales et frontales) et se propage vers l’arrière. Aurélie Stephan, première autrice de l’article, détaille les résultats dans un communiqué de presse : « Cette progression reflète probablement la façon dont les signaux des centres d’excitation sous-corticaux (plus profonds dans le cerveau) atteignent le cortex, avec des chemins plus courts vers les zones frontales et des chemins plus longs vers les régions plus en arrière. » Le sommeil est constitué de différentes phases. Entre autres, celle du sommeil paradoxal (appelé REM et associé aux rêves) et celle du sommeil profond, désigné comme le sommeil non paradoxal (ou non-REM), dans l’étude. Les chercheurs ont distingué deux patterns différents en fonction du type de sommeil dont les participants s’éveillaient. Dans le cas du sommeil non paradoxal, le réveil commençait par des ondes électriques lentes progressives qui, ensuite, se poursuivaient par des ondes électriques rapides. « Dans le sommeil non paradoxal, les neurones qui relient les centres d’excitation au cortex alternent entre les états d’activité et de silence – une dynamique connue sous le nom de ‘bistabilité’. En raison de cette bistabilité, tout stimulus excitant déclenche d’abord une onde lente, avant de passer à une activité plus rapide », détaille Aurélie Stephan. Et pour ne rien simplifier, il existe différents types d’ondes lentes durant le sommeil non paradoxal. Certaines d’entre elles sont destinées à être des signaux d’éveil et donc, d’excitation, tandis que d’autres contribuent à nous maintenir endormis. Ces ondes-là peuvent être présentes avant ou après le réveil, et ce sont elles expliquent pourquoi nous pouvons être somnolents en début de journée. L’autrice poursuit : « En revanche, le sommeil paradoxal n’a pas ce modèle bistable, de sorte que le cortex réagit immédiatement à l’activité rapide, semblable à un réveil. » Dans la phase de sommeil REM, le cerveau émet donc directement des ondes électriques rapides, sans passer par le stade des ondes lentes. Le cerveau se réveille alors plus rapidement, mais laisse la personne avec une sensation de somnolence. « Cette étude offre une nouvelle perspective sur le parcours du cerveau du sommeil à l’éveil, offrant une fenêtre sur l’une des transitions les plus fondamentales de la conscience humaine », conclut la chercheuse. Elle espère que ses recherches permettront des avancées pour les personnes atteintes de troubles du sommeil.
Le streamer Bubzia a enfin atteint son grand objectif de speedrun de Super Mario 64 les yeux bandés, un nouveau record du monde dans la catégorie 1 étoile ! Depuis six mois déjà, Bubzia essayait d'améliorer le précédent record de 11 minutes et 24 secondes, et le 14 juillet 2025, il y est enfin parvenu en 10 minutes et 32 secondes.
Cela fait maintenant un peu plus d’une semaine que la Nintendo Switch 2 est disponible — avec déjà un record pour le lancement. Ce qui veut dire que cela fait aussi un peu plus d’une semaine que les fans de la marque enchaînent les courses dans Mario Kart World, afin de débloquer des récompenses (des personnages, par exemple). Et, très, vite, certains ont mis en avant l’existence d’un mode miroir. Il y a toutefois une confusion sur la marche à suivre pour accéder au mode miroir de Mario Kart World. Sur internet, on peut lire tout et son contraire sur les conditions requises pour débloquer les courses inversées. Certains pensent qu’il suffit de terminer les grands prix en difficulté 150cc (en obtenant trois étoiles !), d’autres qu’il faut ramasser des objets spécifiques ou encore terminer plusieurs missions en balade. Nintendo a fini par dévoiler la méthode infaillible. Dans un mail envoyé à des joueuses et des joueurs, notamment partagé par NintendHome le 12 juin 2025 sur X, Nintendo explique ce qu’il faut faire pour débloquer le mode miroir — bien présent, contrairement au mode 200cc. Dès lors, il faut : - Trouver 10 panneaux marqués d’un point d’interrogation ; - Trouver 10 médailles Peach ; - Réussir 10 missions interrupteurs P ; - Arriver au bout de chaque coupe 150cc et Rallye (sans besoin de terminer premier). On remarquera que Mario Kart World oblige autant à rouler dans les courses classiques (les grands prix) que dans le monde ouvert (balade), sans oublier le mode survie. Ce qui permet de mettre en avant toutes les forces de cet épisode exclusif à la Nintendo Switch 2. Très apprécié des férus de la saga Mario Kart, le mode miroir inverse les tracés sur un plan horizontal : ce qui veut dire que ce qui se trouve habituellement à gauche est désormais à droite (et inversement), les virages en tête. Cela permet de doubler artificiellement le nombre de circuits et de forcer les joueuses et les joueurs à apprendre de nouveaux réflexes. Une spécificité qui peut s’avérer complexe quand on sait que la mémoire musculaire peut nous jouer des tours, surtout dans l’urgence d’une course à remporter.
C’est un désastre pour SpaceX. Dans la nuit du 18 au 19 juin 2025, un test de l’étage supérieur avec l’exemplaire « Ship 36 » a mal tourné. Il a explosé, et a endommagé l’unique centre de test de l’entreprise. Les dégâts apparaissent importants et pourraient fortement ralentir le développement de la fusée géante Starship. C’est un énorme coup dur pour SpaceX, qui risque de retarder pour un bon moment le développement du Starship. Dans la nuit du 18 au 19 juin 2025, un test de l’étage supérieur de la fusée géante a très mal tourné, et viré à la catastrophe. La structure a soudainement explosé, et dévasté une partie du centre de test, au Texas. L’incident, filmé, montre le dernier exemplaire de cet étage (« Ship 36 ») sur son banc d’essai, lors de vérifications visant à préparer la structure pour le vol d’essai n° 10 — qui était censé advenir assez rapidement, en juin ou en juillet. Puis, un évènement s’est manifestement déclenché au sommet de cet étage, avant d’exploser. À ce stade, le matin du 19 juin, le fondateur et patron de SpaceX, Elon Musk, n’a pas encore réagi publiquement, pas plus que Gwynne Shotwell, la présidente et la directrice des opérations. Mais l’entreprise d’astronautique a publié sur X une réaction reconnaissant la réalité de ce raté. Les causes profondes, à ce stade, restent à déterminer. « Le Starship, qui se préparait à effectuer son dixième essai en vol, a connu une anomalie majeure alors qu’il se trouvait sur un banc d’essai de Starbase [qui accueille le poste de Massey où a eu lieu l’explosion, NDLR]. Une zone de sécurité autour du site a été maintenue tout au long de l’opération et tout le personnel est sain et sauf », est-il écrit. « Notre équipe de Starbase travaille activement à la sécurisation du site d’essai et de ses environs immédiats, en collaboration avec les autorités locales », poursuit le groupe, assurant « qu’il n’y a aucun risque pour les résidents des communautés environnantes. […] Les opérations de sécurisation se poursuivent. » L’ampleur des dégâts à Massey reste à évaluer, mais c’est ici que la société procède d’ordinaire aux mises à feu statique de l’étage supérieur (c’est-à-dire l’allumage de la motorisation pour vérifier son fonctionnement, sans réel décollage), mais également aux tests cryogéniques du premier étage (Super Heavy) et de l’étage supérieur. En somme, on y réalise aussi la plupart des tests de conception pour les moteurs, les structures, les propulseurs et les réservoirs, dans le cadre du développement du Starship. À Starbase, le site de Massey constitue l’un des trois grands emplacements, avec le site de production (Starfactory) et le site de lancement, le long de la côte. Les deux autres lieux ne sont pas endommagés, compte tenu des distances importantes qui les séparent de Massey. Cependant, la destruction, même partielle, de ce centre de test devrait ralentir pendant des semaines, voire des mois, la conception de la fusée géante, le temps de tout remettre en état. L’affaire, en tout cas, va aussi interroger un peu plus la fiabilité du Starship « Block 2 ». Il s’avère que le modèle testé (« Ship 36 ») appartient à cette deuxième génération d’étage supérieur. Or, depuis sa mise en service en début d’année, celui-ci n’a que des problèmes : en trois tentatives, il s’est systématiquement désintégré dans l’atmosphère.
Supporters of Zambian President Lungu hold a rally in Lusaka during a tense presidential race, which has been marked by clashes between rival supporters. The presidential election will take place on Thursday. IMAGES.