Description
Added on the 27/11/2015 17:00:41 - Copyright : Le Progrès
Créée en 1979, la Maison Pour Tous des Longs traits, un quartier de Pontarlier, s'apprête à fêter ses 40 ans. Michael Schoepf, son directeur, s'en explique.
Comme l'explique le professeur Eric Deconinck, chef du pôle cancérologie et du service hématologique, le CHU de Besançon est l'un des pionniers de la technique de greffe de moelle osseuse et poursuit sa quête de thérapie innovantes, notamment à travers un partenariat très fort avec l'établissement français du sang.
Concentration de Peugeot 306 à Sochaux pour les 26 ans de cette voiture dont le style n a pas pris une ride selon ses aficionados.
Le film : les Vosges, théâtre d’une énigme insoluble ? Le 16 octobre 1984, tous les yeux d’un pays se figent sur les Vosges à la découverte d’un effroyable fait divers. Le corps de Grégory Villemin, 4 ans, est sorti de l’eau de la Vologne, pieds et mains liés par des cordelettes. La photo choc de la découverte du petit être inanimé indigne la France entière, celle de son portrait sur fond bleu provoque un emballement médiatique sans précédent. S’en suit une enquête marquée par d’innombrables rebondissements, des approximations, des débordements. Pour les 40 ans de l’affaire Grégory, nos journalistes reviennent sur les moments-clés de la grande énigme judiciaire française, toujours en attente de la vérité.
Des squelettes découverts en plein coeur de Paris ! C’est la première fois depuis les grands travaux de transformation de Paris au 19e siècle que des vestiges de la plus grande nécropole gallo-romaine de Lutèce sont redécouverts. Si vous y allez maintenant, vous pouvez encore y voir les tombes, désormais vides, qui datent du 2e siècle de notre ère. C’est en faisant des travaux pour une nouvelle sortie de la gare Port Royal du RER B qu’on est tombé sur ces 50 tombes sur une parcelle de 200m2. Et c’est qu’une petite partie de de ce qui était la plus grande nécropole de Lutèce à cette époque ! En plus des squelettes, on a aussi pu y retrouver du petit mobilier, des récipients en céramiques ou des contenants en verre. Certains défunts avaient aussi une pièce de monnaie dans la bouche, un rite mortuaire qui consistait à donner aux morts de quoi payer Charon, le passeur des Enfers. Après la fin des opérations de fouilles prévue le 28 avril 2023, tous ces vestiges seront étudiés pour mieux comprendre l’origine sociale et les modes de vie des ancêtres des Parisiens.