Description
Added on the 08/06/2019 14:08:49 - Copyright : L'Est Républicain
Dans ce nouvel épisode de Cybercafé, Bruno Patino, président d'Arte et auteur de nombreux livres sur nos addictions aux écrans et le monde moderne, discute de l'impact d'Internet sur la démocratie et sur la façon dont les algorithmes influencent nos choix quotidiens. Comment naviguer dans un monde de plus en plus connecté ? Sommes-nous toujours humains si nous déléguons tout à l'intelligence artificielle ? Quel est le vrai impact de l'algorithme sur nos vies ? Bruno Patino répond à nos questions. Sommaire 00:00 - Bruno Patino, président d'Arte 00:48 - 2007, date fondatrice de la révolution numérique 01:46 - 2022, l'avènement de l'IA 02:48 - Est-ce qu'Internet tue la démocratie ? Oui et non pour Bruno Patino 06:57 - La submersion par nos écrans selon Bruno Patino 10:20 - Le rapport aux réseaux sociaux de Bruno Patino 11:46 - La création de contenus sur les réseaux sociaux 13:42 - Bruno Patino n'aime pas le mot "contenu" 15:35 - L'économie de l'attention selon Bruno Patino 18:45 - Peut-on choisir de ne pas être libre ? 21:17 - L'avenir du poisson rouge dans le bocal selon Bruno Patino 22:54 - Le problème de l'attention n'est pas nouveau L'article par ici ► https://numerama.com --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
Les États-Unis, sous Donald Trump, ont décidé de renommer le Golfe du Mexique en « Golfe d’Amérique ». Google annonce appliquer ce nom, mais pas partout. Depuis l’inauguration de Donald Trump, le 20 janvier 2025, beaucoup de politiques changent. Après la suppression des pages officielles dédiées aux DEIA (diversité, équité, inclusivité, accessibilité), des termes LGBTQIA+, l’annonce de la sortie de l’OMS et le départ de l’Accord de Paris, la nouvelle administration a pris une autre décision : renommer le Golfe du Mexique — une mer qui borde tout le sud-est de l’Amérique du Nord. Elle touche tant les côtes étasuniennes que mexicaines. Le nouveau nom : le Golfe d’Amérique. Le Département de l’Intérieur, qui a appliqué ce changement à la demande de Donald Trump, a déclaré que ce changement d’appellation était vital pour l’histoire et l’économie des États-Unis. Le gouverneur de Floride a aussitôt utilisé la nouvelle appellation, lors d’une alerte météorologique, en parlant de Golfe d’Amérique. Le changement va s’appliquer aussi en ligne : sur Google Maps. Mais ce ne sera pas le cas partout dans le monde. Le service News from Google a réagi, dans un post X du 27 janvier. « Nous avons l’habitude d’appliquer les changements de noms lorsqu’ils ont été mis à jour dans les sources gouvernementales officielles », explique Google. Ainsi, dès que le Geographic Names Information System (GNIS) des États-Unis sera mis à jour, Google Maps affichera « Golfe d’Amérique » au lieu de « Golfe du Mexique ». Toutefois, cela ne concernera que les États-Unis, dans la mesure où ce changement n’a pas été acté à l’international, par d’autres états. « C’est également une pratique de longue date : lorsque les noms officiels varient d’un pays à l’autre, les utilisateurs de Maps voient leur nom officiel local. Le reste du monde voit les deux noms. Cette règle s’applique également ici. » Google Maps appliquera également un autre changement : le mont Denali, en Alaska, est renommé mont McKinley (le nom d’un ancien président américain). Un choix qui fait polémique au sein des communautés autochtones.
Trump a déjà pris deux grandes décisions absurdes pour l'environnement et la santé. Oui, dès son jour d'investiture. L'un des premiers décrets qu'il vient de signer c'est le départ des états-unis de l'Organisation mondiale de la Santé, dont ils sont pourtant l'un des principaux contributeurs financiers. Cela pose un souci pour la santé publique mondiale, puisque l'OMS met en œuvre une surveillance sanitaire, des actions visant à résoudre des épidémies, à partager les données sur les pathogènes émergents, à résoudre des crises sanitaires, ou encore à prévenir et éradiquer certaines maladies graves. Au passage, cela veut dire aussi que les Etats-Unis n'auront plus accès aux données de l'OMS sur les pathogènes émergents, les Américains pourraient gravement en pâtir. Le second décret qu'il a signé est tout aussi surréaliste : le départ de l'Accord de Paris, signé en 2015 par 196 pays... afin de limiter le réchauffement planétaire à 1,5 degré. Et c'est d'autant plus urgent que l'année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée. Mais Trump a même fait pire encore que ce décret : il a annoncé au même moment favoriser la production énergétique par les énergies fossiles, donc le pétrole et le gaz. Il s'est littéralement exclamé forer, bébé, forer ! C'est la pire voie possible. Et cerise sur le gâteau : il veut arrêter de favoriser les voitures électriques, alors que le secteur auto est très polluant.
La Dordogne s'attaque aux déserts médicaux
Premier vice-président du Conseil départemental de la Meuse, Jean-Marie Missler résume le lancement de la deuxième phase du budget participatif. Les Meusiens peuvent donner leur idée.