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Added on the 31/10/2013 19:22:21 - Copyright : Le Républicain Lorrain
Il y a 50 ans, le 21 juin 1967, Carlo Molinari prenait les rênes du FC Metz, juste après la montée des Grenats en Ligue 1 de l'époque. Malgré un intermède (1978-1983) et un flambeau transmis en 2009, son aventure avec le FC Metz a un côté fusionnel. En 1967, lors de sa prise en main, il ne rêvait que d'une chose pour les Grenats : "placer le club en Ligue 1 pendant dix ans"... Interview : Paul-Marie Pernet Réalisation et documentation : Jean-Emmanuel Lages Septembre 2013 - www.republicain-lorrain.fr Le Républicain Lorrain sur Facebook : www.facebook.com/republicainlorrain Le Républicain Lorrain sur Twitter : https://twitter.com/lerepu
A l'occasion des 80 ans du Républicain Lorrain, Romane, Salomé, Morgane, Camille et Lili-Rose, des écoliers de CM1 de l'école Paul Verlaine du Ban-Saint-Martin, livrent leurs visions du journal de demain. Reportage : Fabrice JAZBINSEK
Vingt-cinq ans après sa disparition dans un accident d'hélicoptère lors du Paris Dakar, la voix de Daniel Balavoine résonne toujours. Le souvenir du chanteur est encore très présent en Moselle.Retrouvez plusieurs réactions grâce à notre micro-trottoir dans les rues de Metz.
Angela Merkel, Mikhaïl Gorbatchev et Lech Walesa ont célébré ensemble l'anniversaire de la chute du mur de Berlin.
Flappy Bird est de retour, et non, nous ne sommes pas revenus au début des années 2010. Il y a un peu plus de dix ans, le développeur vietnamien Dong Nguyen lançait ce jeu vidéo au gameplay simpliste, mais addictif, consistant à faire avancer un oiseau entre les obstacles (en tapotant sur l’écran pour lui faire battre des ailes). Le succès fut immédiat, avec plusieurs dizaines de millions de téléchargements en quelques semaines et une grande exposition médiatique. Le phénomène a pris une telle ampleur que Dong Nguyen a pris la décision de supprimer Flappy Bird de l’App Store et du Google Play Store, quelques mois seulement après son lancement — et alors qu’il lui rapportait 50 000 $ par jour. Son créateur ne supportait pas ce qu’il était devenu : « Je peux affirmer que Flappy Bird est mon succès. Mais il a aussi ruiné ma vie. Donc, maintenant, je le déteste. » Dix ans après cette disparition soudaine, Flappy Bird va revenir par la grande porte, découvre-t-on dans un tweet publié le 12 septembre 2024. Dong Nguyen n’est pas à l’origine de ce retour inattendu de Flappy Bird. C’est un collectif de fans qui est parvenu à récupérer les droits du jeu, dans le but de lui redonner une chance (ils détiennent aussi ceux de Piou Piou vs. Cactus., le jeu qui a inspiré Flappy Bird). Il faudra attendre 2025 pour revoir le volatile sur iOS et Android, mais une version web devrait être déployée à la fin de cette année. « Il y a dix ans, j’étais sur toutes les lèvres et je visais les étoiles avec mes 100 millions d’amis. Malheureusement, j’ai dû quitter la célébrité et la lumière pour retourner à la maison et trouver qui je suis vraiment », peut-on lire sur le site officiel. Le groupe à l’origine de la renaissance parle d’une version « rafraîchie, revigorée et prête à briller encore ». Flappy Bird reviendra avec une pluie de nouveautés, dont certaines font l’objet d’un teasing. Ainsi, on pourra incarner d’autres personnages, comme Peng le pingouin, Tekno l’oiseau robot, ou encore Quirky, qui arbore une corne de licorne. Sont évoqués aussi d’autres modes de jeu, comme des sessions Battle Royale (face à 99 joueuses et joueurs) ou des parties faciles (pour devenir meilleur). Bref, l’idée n’est pas seulement de surfer sur la popularité passée de Flappy Bird. Il s’agit aussi de le moderniser et de lui offrir des évolutions qu’il aurait pu connaître s’il n’avait pas disparu du jour au lendemain. On rappelle que Flappy Bird a généré des dizaines et des dizaines de clones, conçus par des personnes désireuses de récupérer une part du gâteau. « Nous sommes très enthousiastes à l’idée de ramener Flappy Bird et de proposer une nouvelle expérience qui captivera les joueurs pendant des années. Nous avons de grands projets pour notre petit oiseau ! », se réjouit Michael Roberts, le directeur créatif.