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Added on the 04/07/2013 21:41:48 - Copyright : L'Est Républicain
Alors que des touristes du monde entier sont attendus pour les Jeux olympiques organisés à Paris et Marseille, les autorités alertent sur les risques de dengue associés au moustique tigre. Ces dernières semaines, le contexte politique aurait presque fait oublier que les JO de Paris approchent. Ils commenceront le 26 juillet 2024. Dans quelques jours, des centaines de milliers de touristes, venus du monde entier, vont s’installer à Paris, comme à Marseille. Outre l’augmentation des prix des transports et la circulation qui s’annonce difficile, une autre donnée risque de venir gâcher la fête : l’arrivée des insectes et autres rongeurs. Car, en favorisant les brassages de populations, les Jeux pourraient aussi favoriser une recrudescence de maladies comme la dengue, qui s’attrape par une piqûre de moustique tigre. Autre source d’inquiétude à l’approche des JO : la présence accrue de rats et de punaises de lit. Avec l’augmentation du nombre de personnes dans la capitale, et à Marseille où certaines épreuves se déroulent, les déchets présents dans les villes vont aussi être plus importants. « Un rat qui mange bien, c’est un rat qui va se reproduire massivement, explique Nicolas Roux de Bézieux. De fait, en septembre, on devrait voir une hausse significative des rongeurs présents dans la capitale. » Quant aux punaises de lit, leur présence sera là aussi facilitée par les flux de touristes importants. Si les ramener chez soi depuis l’espace public est peu probable, en revanche pour les personnes qui ont mis leur appartement en location touristique, le risque de devoir gérer leurs présences en septembre est là, avéré.
Claude Perrot, 68 ans, est maire de Balmont, dans le pays de Montbéliard depuis 1989. Il revient sur les bons et les mauvais souvenirs de ses mandats de maires.
Ancien adjoint au maire et vice-président du conseil départemental, Benoit Jourdain annoncé officiellement sa candidature à la maire d’Epinal en mars prochain. Il explique pourquoi.
La sirène à 15 heures, la minutes de silence, un hommage très court du maire Alain Chrétien, et le registre de condoléance disposé tout près du portrait de l’ancien président de la République. L’hommage à Jacques Chirac a été à la fois sobre et simple devant une centaine de personnes rassemblées pour l’occasion sur le parvis de la mairie. En larmes, une dame venue tout spécialement du Haut-Doubs pour assister à une cérémonie, a voulu témoigner : « je suis en deuil, Jacques Chirac était quelqu’un qui nous faisait exister ».
Ce lundi à 15 h, élus et personnel municipal se sont figés autour de la place Duroc.