Description
Added on the 25/11/2008 11:44:57 - Copyright : Le Républicain Lorrain
Amina et Thomas, étudiants en BTS Négociation Relation Client au lycée Louis Bertrand de Briey étaient en stage de télémarketing au siège du Républicain Lorrain à Woippy. Accompagnés de leurs professeurs, ils sont passés de la théorie à la pratique.
Metteur en scène de la compagnie Ultima Necat, Gaël Leveugle dirige un atelier au lycée Louis Bertrand de Briey. Au menu, pour les élèves de Première, l'oralité et la poésie, à partir de textes signés Rimbaud.
La Bonne étoile un film de - een film van Pascal Elbé avec - met Benoît Poelvoorde -- Share : http://www.facebook.com/cineartbelgium Watch : http://www.youtube.com/CineartBE Like : http://www.instagram.com/cineart_belgium Enjoy : https://www.tiktok.com/@cineartbe Follow : https://letterboxd.com/cineart_film/
Des chercheurs de l’Institut néerlandais de neurosciences et de l’Université de Lausanne ont découvert que le cerveau avait un pattern assez spécifique pour se sortir du sommeil. Ils l’ont décrit dans une étude publiée le 16 juillet 2025 dans la revue Current Biology. Ce nouveau modèle pourrait permettre d’aider et d’améliorer la recherche concernant les troubles du sommeil. Pour étudier ce phénomène, les chercheurs ont posé 256 électrodes sur la tête d’une vingtaine de participants et ont analysé, au total, l’activité électrique cérébrale dans plus de 1 000 passages du sommeil au réveil. Les résultats révèlent un pattern, un schéma qui se reproduit à chaque nouvel éveil. Ce schéma diffère en fonction du type de sommeil (profond ou paradoxal) dans lequel nous nous trouvons. Une caractéristique demeure constante cependant, la vague de sommeil part de l’avant du cerveau (des zones centrales et frontales) et se propage vers l’arrière. Aurélie Stephan, première autrice de l’article, détaille les résultats dans un communiqué de presse : « Cette progression reflète probablement la façon dont les signaux des centres d’excitation sous-corticaux (plus profonds dans le cerveau) atteignent le cortex, avec des chemins plus courts vers les zones frontales et des chemins plus longs vers les régions plus en arrière. » Le sommeil est constitué de différentes phases. Entre autres, celle du sommeil paradoxal (appelé REM et associé aux rêves) et celle du sommeil profond, désigné comme le sommeil non paradoxal (ou non-REM), dans l’étude. Les chercheurs ont distingué deux patterns différents en fonction du type de sommeil dont les participants s’éveillaient. Dans le cas du sommeil non paradoxal, le réveil commençait par des ondes électriques lentes progressives qui, ensuite, se poursuivaient par des ondes électriques rapides. « Dans le sommeil non paradoxal, les neurones qui relient les centres d’excitation au cortex alternent entre les états d’activité et de silence – une dynamique connue sous le nom de ‘bistabilité’. En raison de cette bistabilité, tout stimulus excitant déclenche d’abord une onde lente, avant de passer à une activité plus rapide », détaille Aurélie Stephan. Et pour ne rien simplifier, il existe différents types d’ondes lentes durant le sommeil non paradoxal. Certaines d’entre elles sont destinées à être des signaux d’éveil et donc, d’excitation, tandis que d’autres contribuent à nous maintenir endormis. Ces ondes-là peuvent être présentes avant ou après le réveil, et ce sont elles expliquent pourquoi nous pouvons être somnolents en début de journée. L’autrice poursuit : « En revanche, le sommeil paradoxal n’a pas ce modèle bistable, de sorte que le cortex réagit immédiatement à l’activité rapide, semblable à un réveil. » Dans la phase de sommeil REM, le cerveau émet donc directement des ondes électriques rapides, sans passer par le stade des ondes lentes. Le cerveau se réveille alors plus rapidement, mais laisse la personne avec une sensation de somnolence. « Cette étude offre une nouvelle perspective sur le parcours du cerveau du sommeil à l’éveil, offrant une fenêtre sur l’une des transitions les plus fondamentales de la conscience humaine », conclut la chercheuse. Elle espère que ses recherches permettront des avancées pour les personnes atteintes de troubles du sommeil.
SFR a connu une des pires pannes de son histoire, le lundi 16 juin 2025. Entre 11 heures et 23 heures approximativement (la situation diffère d’un abonné à un autre), le réseau mobile de l’opérateur était totalement indisponible. Impossible de se connecter à la 4G ou à la 5G : les plus chanceux avaient droit à la 3G, les autres au message « Aucun réseau ». L’opérateur a annoncé la fin de la panne dans la matinée du 17 juin, mais indique qu’il est trop tôt pour communiquer sur ce qu’il s’est passé. Tout ce que l’on sait est que la panne était nationale et a provoqué « des déconnexions aléatoires » sur tout le territoire. Et maintenant, que va-t-il se passer ? En plus de fournir des explications techniques sur l’origine de cette panne nationale, SFR devra prendre des décisions commerciales, pour dédommager ses abonnés et clients. La panne de SFR n’a pas seulement concerné les particuliers, mais aussi des entreprises et des partenaires, comme des opérateurs virtuels (Prixtel, La Poste Mobile), des constructeurs automobiles ou des terminaux de paiement dépendants de son réseau. Première question : que disent les conditions générales d’utilisation ? SFR, comme les autres opérateurs, a évidemment pensé à ce cas de figure. Les conditions générales de l’opérateur pour les abonnements particuliers mentionnent explicitement les pannes du réseau mobile : « Dans l’hypothèse d’une non-disponibilité du réseau SFR supérieure ou égale à 10 % (soit en durée cumulée, soit plus de 48h consécutives) sur un mois calendaire, SFR s’engage à attribuer au Client ayant été affecté par cette non-disponibilité (selon sa localisation géographique et les moments (date heure) auxquels il a souhaité avoir accès au réseau SFR) des compensations soit financières (attribution d’avoirs au prorata de la durée d’indisponibilité), soit en usages (internet/minutes d’appels/SMS/services…). La demande de compensation devra être formulée par écrit par le Client et indiquer précisément : les dates, heures et localisation en précisant le code postal à 5 chiffres, ainsi que la durée pendant laquelle le Client n’a pu avoir accès au réseau SFR. Cette demande sera traitée par SFR dans le mois qui suit sa réception », indique l’opérateur dans sa clause 3.2.1. Avec une panne de « seulement » 10-12 heures, SFR n’est donc pas tenu de faire un geste commercial à ses abonnés particuliers. Il aurait fallu que la panne dure jusqu’au mercredi midi pour que le dédommagement soit obligatoire, sur demande écrite de l’abonné. En cas de nouvelle panne, l’indisponibilité sur le mois de juin s’additionnera. Mais on peut imaginer (et espérer) que SFR saura éviter un tel scénario. Quid des partenaires ? Les contrats entre SFR et les opérateurs virtuels ne sont pas connus, mais Prixtel ou La Poste Mobile peuvent sans doute réclamer de l’argent en cas d’une indisponibilité longue du réseau. De même pour les banques ou les constructeurs automobiles, qui disposent sans doute de contrats spéciaux. Reste à savoir si les 10-12 heures de panne sont suffisants pour réclamer une compensation.