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Added on the 03/01/2019 17:21:32 - Copyright : L'Est Républicain
La société Vailog va implanter une base logistique sur l'Aéroparc de Belfort. L'annonce de Damien Meslot, président du Grand Belfort.
Nasser, 26 ans, a fui la guerre au Soudan et va entrer chez PSA à Metz. Ekmat était commerçant en Afghanistan avant d'en être chassé par les talibans et s’invente une nouvelle vie dans un supermarché oriental de Vandoeuvre-lès-Nancy. Shawali, réfugié âgé de 36 ans, apprend désormais le métier de canalisateur près de Nancy. Dans son pays, l’Afghanistan, il dirigeait une entreprise de construction avant de s’exiler sous la menace. Un millier de réfugiés sont formés en France dans le cadre d'un programme original baptisé Hope. Il favorise leur insertion dans des secteurs en tension qui manquent de bras, comme le BTP ou l'industrie.Nous avons suivi le quotidien de plusieurs d'entre-eux, dans le Grand-Est. Des rencontres exceptionnelles, de l'apprentissage de la langue à l’Afpa aux premiers pas dans le monde professionnel.Reportage, images et montage: Alain MORVAN.
La Mission locale et la Maison de l’emploi du Grand Nancy ont organisé un rencontre entre des restaurateurs et des jeunes en insertion. Ils ont élaboré des supports visuels sur le thème « comment rendre la restauration attractive » au travers toute une série d’ateliers. Objectif : développer leur créativité, leur savoir-être, leur assurance. Et leur faire découvrir un secteur « en tension ».
Début juillet 2025, João Nazareno Roque, un informaticien brésilien employé chez C&M Software, a été arrêté pour avoir vendu l’accès aux systèmes de son entreprise pour 2 300 euros via WhatsApp. Cette entreprise joue un rôle central dans le système financier du Brésil en assurant la connexion entre la Banque centrale et le réseau de paiement instantané PIX, utilisé par une large majorité de la population. Grâce à ces accès, des hackers ont lancé une attaque dans la nuit du 30 juin au 1er juillet, détournant près de 90 millions d’euros, dont environ la moitié a pu être gelée par la police. João a reconnu avoir agi par pur opportunisme, tandis que son entreprise affirme que la compromission est uniquement humaine, et non liée à une faille technique. L’incident a entraîné la suspension temporaire de certains services PIX, relançant des inquiétudes sur la sécurité du système de paiement brésilien. L’enquête se poursuit pour retrouver d’éventuels complices...