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Added on the 20/01/2021 15:01:24 - Copyright : AFPTV - First images
Ukrainian President Volodymyr Zelensky lands at an air force base in southern Denmark, two days after Washington approved the transfer of US-made F-16 fighter jets by Denmark and the Netherlands to Kyiv. He is greeted by Danish Prime Minister Mette Frederiksen, Foreign Minister Lars Lokke Rasmussen and Defence Minister Jakob Ellemann-Jensen. IMAGES
US President Donald Trump arrives at Stansted Airport aboard the Air Force One for an official three-day state visit to the UK. The President's visit will begin with a pomp-filled ceremony at Buckingham Palace followed by lunch with 93-year-old Queen Elizabeth II. IMAGES
Donald Trump a relancé le Guerre des Étoiles… et ça pourrait être un immense bluff ! Le 20 mai 2025, Trump annonce le Dôme d’Or : un bouclier anti-missile pensé pour protéger les États-Unis des attaques internationales. Comment fonctionnerait ce bouclier ? Et sa mise au point est-elle même réaliste ? On vous explique ! Donald Trump a relancé la guerre des étoiles avec son projet de bouclier antimissile, le "Dôme d'Or". Ce projet vise à rendre les États-Unis invulnérables aux attaques, mais sa faisabilité technique et son coût suscitent des interrogations. Est-ce un immense bluff ou une véritable modernisation militaire ?
On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.
Les États-Unis, sous Donald Trump, ont décidé de renommer le Golfe du Mexique en « Golfe d’Amérique ». Google annonce appliquer ce nom, mais pas partout. Depuis l’inauguration de Donald Trump, le 20 janvier 2025, beaucoup de politiques changent. Après la suppression des pages officielles dédiées aux DEIA (diversité, équité, inclusivité, accessibilité), des termes LGBTQIA+, l’annonce de la sortie de l’OMS et le départ de l’Accord de Paris, la nouvelle administration a pris une autre décision : renommer le Golfe du Mexique — une mer qui borde tout le sud-est de l’Amérique du Nord. Elle touche tant les côtes étasuniennes que mexicaines. Le nouveau nom : le Golfe d’Amérique. Le Département de l’Intérieur, qui a appliqué ce changement à la demande de Donald Trump, a déclaré que ce changement d’appellation était vital pour l’histoire et l’économie des États-Unis. Le gouverneur de Floride a aussitôt utilisé la nouvelle appellation, lors d’une alerte météorologique, en parlant de Golfe d’Amérique. Le changement va s’appliquer aussi en ligne : sur Google Maps. Mais ce ne sera pas le cas partout dans le monde. Le service News from Google a réagi, dans un post X du 27 janvier. « Nous avons l’habitude d’appliquer les changements de noms lorsqu’ils ont été mis à jour dans les sources gouvernementales officielles », explique Google. Ainsi, dès que le Geographic Names Information System (GNIS) des États-Unis sera mis à jour, Google Maps affichera « Golfe d’Amérique » au lieu de « Golfe du Mexique ». Toutefois, cela ne concernera que les États-Unis, dans la mesure où ce changement n’a pas été acté à l’international, par d’autres états. « C’est également une pratique de longue date : lorsque les noms officiels varient d’un pays à l’autre, les utilisateurs de Maps voient leur nom officiel local. Le reste du monde voit les deux noms. Cette règle s’applique également ici. » Google Maps appliquera également un autre changement : le mont Denali, en Alaska, est renommé mont McKinley (le nom d’un ancien président américain). Un choix qui fait polémique au sein des communautés autochtones.