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Added on the 10/12/2020 19:08:30 - Copyright : AFPTV - First images
Des drones survolant les États de New York et du New Jersey suscitent l’inquiétude de nombreux Américains. Donald Trump a suggéré une réponse musclée : les « abattre ». Voici ce que l’on sait à l’heure actuelle. Depuis près d’un mois, des drones nourrissent chaque nuit les théories du complot aux États-Unis. La dernière conférence de presse du Secrétaire à la sécurité intérieure du pays, Alejandro Mayorkas, apporte quelques éclaircissements, sans donner d’explication concrète. Pour rappel, depuis le 18 novembre, des dizaines de signalements de drones ont été rapportés dans l’État du New Jersey, non loin de New-York, mais également dans d’autres régions du nord-est des États-Unis. Au total, des objets volants ont été observés dans six États : le New Jersey, New York, le Connecticut, la Pennsylvanie, le Massachusetts et la Virginie. Les inquiétudes se sont intensifiées après que des drones ont été repérés près de l’arsenal de Picatinny, un centre de recherche militaire américain, et au-dessus du terrain de golf du président élu Donald Trump à Bedminster. Les théories les plus farfelues vont bon train : d’aucuns sur les réseaux sociaux affirment qu’une bombe nucléaire « sale » est arrivée à New York et que les drones surveillent les radiations ; d’autres tombent dans le complotisme le plus simple : si nous ne savons pas ce que c’est, alors ce sont des aliens.
La glace n'est pas le terrain de jeu privilégié du M1 Abrams, comme le montre la vidéo en tête de cet article. La star de blindés américains, présent notamment dans les deux guerres d'Irak depuis sa création au début des années 80, n'a pas l'habitude du froid extrême. Une raison suffisante pour que les Marines partent chaque année s'entraîner aux côtés des soldats norvégiens dans les plaines de Rena, à 150 kilomètres au nord d'Olso.
Pour fabriquer un nouvel iPhone, des AirPods ou un Mac, Apple teste des dizaines de milliers de prototypes. Ils sont torturés, détruits, accrochés à des capteurs pendant des heures… Un processus secret qui lui permet de préparer ses produits au monde réel. À l’occasion de la WWDC 25, sa grande conférence développeur, Apple a accepté d’ouvrir deux de ses laboratoires secrets à Numerama. Ils sont situés au milieu de la Silicon Valley, juste à côté de l’Apple Park de Cupertino. Reportage. Tous nos articles sur Apple par ici ► https://www.numerama.com/tag/apple/ Sommaire 00:00 - Pourquoi on ne voit jamais les laboratoires d'Apple ? 00:53 - Le Durability Lab d'Apple 06:30 - L'audio Lab d'Apple 12:19 - Le Design Lab d'Apple --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
Donald Trump a relancé le Guerre des Étoiles… et ça pourrait être un immense bluff ! Le 20 mai 2025, Trump annonce le Dôme d’Or : un bouclier anti-missile pensé pour protéger les États-Unis des attaques internationales. Comment fonctionnerait ce bouclier ? Et sa mise au point est-elle même réaliste ? On vous explique ! Donald Trump a relancé la guerre des étoiles avec son projet de bouclier antimissile, le "Dôme d'Or". Ce projet vise à rendre les États-Unis invulnérables aux attaques, mais sa faisabilité technique et son coût suscitent des interrogations. Est-ce un immense bluff ou une véritable modernisation militaire ?
La représentation par IA d’un homme tué par balles a été autorisée à s’exprimer à l’audience de son tueur. Une première aux États-Unis. C’est une première aux États-Unis qui risque de faire des émules. Christopher Pelkey a été tué par Gabriel Paul Horcasitas en 2021 après une altercation sur la route, crime qui porte outre-Atlantique le nom de « road rage ». Et pourtant, Pelkey est apparu le jour de l’audience de son assassin pour lui adresser un message en vidéo, comme le rapporte la presse locale. La génération par IA basée sur les traits et la voix de l’homme décédé a été autorisée à s’exprimer dans un tribunal. « À Gabriel Horcasitas, l’homme qui m’a tiré dessus – c’est dommage que nous nous soyons rencontrés ce jour-là dans ces circonstances. Dans une autre vie, nous aurions probablement pu être amis », lance l’avatar de Pelkey à son tueur en pleine audience, avant d’embrayer sur le fait qu’il croit profondément au pardon. Une intervention qui a touché le juge Todd Lang, qui a déclamé après avoir vu la vidéo : « J’adore cette IA. Merci. J’ai trouvé que c’était authentique, que le pardon accordé à monsieur Horcasitas reflète parfaitement le personnage de Pelkey dont j’ai entendu parler aujourd’hui ». Derrière ce projet, on trouve la sœur de Pelkey, qui souhaitait apporter une autre dimension au procès du meurtrier de son frère, afin d’apporter une pierre au processus de guérison. « En avoir fait une œuvre de guérison pour quiconque l’a vue n’était qu’un résultat bénéfique », a-t-elle déclaré, estimant que l’intervention de son défunt frère et les mots choisis pour le faire parler, ont participé à apaiser la famille endeuillée. Techniquement, la génération vidéo et voix est très accessible en 2025, avec des services proposant la création d’avatars numériques à partir d’images et d’extraits vocaux. Reste que faire intervenir un mort à un procès n’est pas anodin. Ann A. Scott Timmer, responsable de la Cour Suprême de l’Arizona, a estimé que l’IA avait un grand potentiel pour aider celles et ceux qui n’ont pas de connaissance dans le système juridique américain, notamment à mieux se défendre. Mais, a-t-elle ajouté, « l’IA peut aussi entraver, voire bouleverser la justice si elle est utilisée de façon inappropriée. Une approche mesurée est préférable. Dans cette optique, le tribunal a formé un comité sur l’IA pour examiner l’utilisation de l’IA et formuler des recommandations sur la meilleure façon de l’utiliser. Au fond, ceux qui utilisent l’IA — y compris les tribunaux — sont responsables de son exactitude ». On imagine bien les dangers auxquels Timmer fait référence : une telle intervention d’un défunt, bien menée, pourrait tout à la fois toucher plus profondément le juge et les jurés. Mais elle pourrait aussi altérer la réalité de ce qui s’est vraiment passé : en plus des preuves et des témoignages, on a eu dans ce tribunal de l’Arizona, une génération d’image déclamant un texte que la victime n’a jamais écrit — un deepfake, en somme. Sa sœur, avec toute sa bonne volonté, n’a fait que lui prêter des propos qui n’auraient, peut-être, pas été ceux de Pelkey. Une nuance qui permet de comprendre pourquoi la Cour Suprême de l’Arizona est sur ses gardes.