Description
Added on the 08/11/2024 17:43:50 - Copyright : Numerama
Des chercheurs de l’Institut néerlandais de neurosciences et de l’Université de Lausanne ont découvert que le cerveau avait un pattern assez spécifique pour se sortir du sommeil. Ils l’ont décrit dans une étude publiée le 16 juillet 2025 dans la revue Current Biology. Ce nouveau modèle pourrait permettre d’aider et d’améliorer la recherche concernant les troubles du sommeil. Pour étudier ce phénomène, les chercheurs ont posé 256 électrodes sur la tête d’une vingtaine de participants et ont analysé, au total, l’activité électrique cérébrale dans plus de 1 000 passages du sommeil au réveil. Les résultats révèlent un pattern, un schéma qui se reproduit à chaque nouvel éveil. Ce schéma diffère en fonction du type de sommeil (profond ou paradoxal) dans lequel nous nous trouvons. Une caractéristique demeure constante cependant, la vague de sommeil part de l’avant du cerveau (des zones centrales et frontales) et se propage vers l’arrière. Aurélie Stephan, première autrice de l’article, détaille les résultats dans un communiqué de presse : « Cette progression reflète probablement la façon dont les signaux des centres d’excitation sous-corticaux (plus profonds dans le cerveau) atteignent le cortex, avec des chemins plus courts vers les zones frontales et des chemins plus longs vers les régions plus en arrière. » Le sommeil est constitué de différentes phases. Entre autres, celle du sommeil paradoxal (appelé REM et associé aux rêves) et celle du sommeil profond, désigné comme le sommeil non paradoxal (ou non-REM), dans l’étude. Les chercheurs ont distingué deux patterns différents en fonction du type de sommeil dont les participants s’éveillaient. Dans le cas du sommeil non paradoxal, le réveil commençait par des ondes électriques lentes progressives qui, ensuite, se poursuivaient par des ondes électriques rapides. « Dans le sommeil non paradoxal, les neurones qui relient les centres d’excitation au cortex alternent entre les états d’activité et de silence – une dynamique connue sous le nom de ‘bistabilité’. En raison de cette bistabilité, tout stimulus excitant déclenche d’abord une onde lente, avant de passer à une activité plus rapide », détaille Aurélie Stephan. Et pour ne rien simplifier, il existe différents types d’ondes lentes durant le sommeil non paradoxal. Certaines d’entre elles sont destinées à être des signaux d’éveil et donc, d’excitation, tandis que d’autres contribuent à nous maintenir endormis. Ces ondes-là peuvent être présentes avant ou après le réveil, et ce sont elles expliquent pourquoi nous pouvons être somnolents en début de journée. L’autrice poursuit : « En revanche, le sommeil paradoxal n’a pas ce modèle bistable, de sorte que le cortex réagit immédiatement à l’activité rapide, semblable à un réveil. » Dans la phase de sommeil REM, le cerveau émet donc directement des ondes électriques rapides, sans passer par le stade des ondes lentes. Le cerveau se réveille alors plus rapidement, mais laisse la personne avec une sensation de somnolence. « Cette étude offre une nouvelle perspective sur le parcours du cerveau du sommeil à l’éveil, offrant une fenêtre sur l’une des transitions les plus fondamentales de la conscience humaine », conclut la chercheuse. Elle espère que ses recherches permettront des avancées pour les personnes atteintes de troubles du sommeil.
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Katy Perry est montée à bord d'une fusée Blue Origin avec un équipage 100% féminin pour un court voyage d'une dizaine de minutes dans l'espace. La chanteuse avait embarqué avec elle une marguerite, « Daisy » en anglais, prénom que porte que sa fille. Rappelons que ce voyage n'a aucun but scientifique, il s’agit d’une mission touristique. Et, bien que ce crew soit chanceux de vivre une expérience pareille, n’oublions pas que chaque passagère a payé sa place. Le prix reste secret, mais on peut au moins compter un acompte de 150 000 dollars. En 2021, le premier passager d'un vol New Shepard avait déboursé 28 millions de dollars, et récemment d'autres passagers ont payé jusqu'à 1 million de dollars pour vivre cette expérience unique. L’impact environnemental de ces vols est également très critiqué.
« Les gens me reconnaissaient dans la rue » « Ce jour-là, c’était incroyable : les gens me reconnaissaient dans la rue pour le clip. » Ils n’avaient pas encore retenu son nom, ni le titre de Marly-Gomont : « C’étaient toujours des rébus : vache ! tracteur ! eh, Picardie, eh, la pelouse ! » Pourtant, à cette date, la chanson n’était même pas sortie auprès d’une maison de disque, ni postée sur Internet. En réalité, le buzz a commencé avant : par mails. Ironie du sort : à cette époque, en 2006, Kamini n’a pas Internet. « Et j’étais fier à l’époque, c’était un peu une revendication ! », se souvient le rappeur. La machine médiatique a ensuite, elle aussi, contribué au buzz. Car parmi les milliers de boîtes mails ayant reçu le lien du clip, il y avait des journalistes. De fil en aiguille, le clip remonte jusqu’à Jean-Pierre Pernault, qui décide de l’inviter dans son JT. « Alors que le JT, à l’époque, c’est pour George Bush, pour Zizou, pour des gros trucs. Moi, je suis personne, et j’arrive directement au JT. Ça fait partie des choses qui ont marqué les gens, la façon dont j’ai pu apparaître dans les médias. »
Une éclipse de Lune se produit lorsque la Lune passe dans l’ombre ou la pénombre de la Terre. Le Soleil, la Terre et la Lune sont alignés. C’est pour cela que l’on observe des éclipses au moment de la pleine Lune. Mais, cela n’arrive pas à chaque pleine lune, car le plan de l’orbite de la Lune est incliné, par rapport au plan de l’orbite terrestre. Pour voir une éclipse lunaire, il faut que la Lune soit levée depuis le lieu où se trouve un observateur ou une observatrice. Puisque l’éclipse peut durer longtemps, au maximum 5 heures selon l’IMCCE, il est tout à fait possible de ne pouvoir observer qu’une partie de l’éclipse, si la Lune se lève alors que l’éclipse a déjà commencé, par exemple. La seule contrainte à l’observation des éclipses lunaires est la météo. Si la Lune est basse au moment de l’éclipse, il faudra éventuellement prévoir un site d’observation dont l’horizon est dégagé. Mais, il n’est pas nécessaire de se protéger les yeux comme lors d’une éclipse de Soleil, ni même de s’éloigner des sites d’observations pollués. Ce phénomène astronomique, improprement qualifié de « Lune de sang » (il vaut mieux encore parler de Lune cuivrée), survient lors des éclipses totales. La coloration rougeâtre de la Lune s’explique par l’alignement des astres pendant l’éclipse : pour rappel, la Terre est entre la Lune et le Soleil. Notre planète projette son ombre sur la Lune, mais celle-ci continue bien de recevoir de la lumière. La lumière du Soleil reçue par la Lune passe alors par l’atmosphère terrestre, qui filtre certaines longueurs d’onde de la lumière, du violet au vert. Seul le rouge continue de passer. C’est pourquoi le disque de la Lune se met à rougir. Comme le mentionne l’IMCCE, l’aspect et l’intensité de cette coloration peuvent varier d’une éclipse à l’autre, en fonction des conditions météorologiques atmosphériques notamment.