Description
Added on the 20/06/2025 11:49:30 - Copyright : Numerama
Le fort Boyard, situé en Charente-Maritime et célèbre pour l’émission de télévision qu’il accueille depuis 30 ans, menace de s’effondrer. Le département a lancé un grand projet de rénovation du fort. Il sera financé en partie par une campagne de dons, entamée en décembre 2024. Mais pourquoi le fort Boyard s’effondre-t-il ? « Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort. » Cette phrase vous semble familière ? Il s’agit de la devise du célèbre jeu télévisé Fort Boyard, dans lequel des candidats constamment pressés par le temps passent des épreuves et résolvent des énigmes. L’émission se déroule depuis plus de 30 ans dans le fort du même nom, le fort Boyard, situé entre l’île d’Aix, l’île de Ré et l’île d’Oléron, dans le département de la Charente-Maritime. Il est aujourd’hui marqué par le passage du temps et les dégâts provoqués par la houle. C’est pourquoi le département a lancé un projet de rénovation pour restaurer le fort. La phase de travaux devrait commencer à l’été 2025 pour se terminer entre fin 2027 et début 2028. Une campagne de dons a été ouverte ce mardi 17 décembre 2024, par le Conseil départemental de la Charente-Maritime, afin de « sauver » le fort. Que s’est-il passé au fort Boyard ? Construit au début du 19e siècle, le fort résiste depuis à l’assaut du temps et de l’océan, bien qu’il ait déjà connu des phases de restauration. Selon le communiqué du département de la Charente-Maritime, au départ, le fort était muni d’un éperon de protection, d’un port d’amarrage et d’un talus de protection et de renforcement (appelé une risberme). Cependant, ils ont disparu au cours du temps pour plusieurs raisons. De manière générale, l’exposition à la houle depuis près de 100 ans est responsable d’une grande partie des dégâts. Elle a fragilisé les structures et en a fait disparaître d’autres. Le talus de protection (la risberme) s’est dégradé progressivement, ce qui a pour conséquence, aujourd’hui, de mettre à découvert et sous pression les fondations du fort. Par ailleurs, les joints se sont fortement usés, ce qui, à terme, pourrait conduire au détachement des pierres des murs. Sur certaines parties du fort, un creusement a déstabilisé la construction. Globalement, il y a donc une fragilisation de la bâtisse, ainsi que de nombreuses fissurations. Par ailleurs, les architectes de l’époque ont vraisemblablement sous-estimé, lors de la conception, les efforts qui seraient imposés au bâtiment, ce qui a par conséquent favorisé son usure. Quel est le but des travaux ? On rase tout et on recommence ? Le but des restaurateurs sera principalement d’intervenir sur les protections existantes du fort (donc, la risberme), mais aussi sur celles qui ont existé par le passé, c’est-à-dire l’éperon et le port d’accostage. Ces deux derniers seront à reconstruire entièrement, tandis que la risberme sera en partie à consolider. Pour mener à bien ce projet, le département de la Charente-Maritime a voté un budget de 44 millions d’euros, dont une partie est financée par la campagne de dons qui vient de débuter. Le fort Boyard devrait ensuite être ouvert au public en 2028, une fois les travaux achevés.
Sur France 2, France 3 ou Eurosport, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, ainsi que l’intégralité des épreuves, sont commentées par des journalistes. Certaines personnes ne peuvent se passer des commentaires, d’autres aimeraient regarder une compétition passivement, et se contentent des bruits du stade. Bonne nouvelle, il est possible de tout couper ! Depuis le 26 juillet, la France vibre au rythme des Jeux olympiques de Paris 2024. La cérémonie d’ouverture a captivé plus de 22 millions de téléspectateurs, soit la seconde plus grande audience de l’histoire de la télévision française. La grande majorité du public était branché sur France 2, qui commentait la cérémonie en plateau. Saviez-vous qu’il est possible de revoir la cérémonie sans aucun commentaire, en se contentant des images et du son envoyés aux diffuseurs ? Un bon moyen de profiter du spectacle, d’autant plus que le mix sonore n’est pas le même (la musique est bien plus forte). Il est aussi possible de désactiver les commentaires sur toutes les épreuves, en direct ou en replay, pour laisser un match en arrière-plan sur sa télé sans perdre en concentration. Malheureusement, France 2 et France 3 n’offrent pas la possibilité de désactiver les commentaires. Seul Eurosport, via le service de streaming Max, permet de choisir la langue des commentateurs, voire de se contenter du son transmis par les diffuseurs. La bonne nouvelle est que Max diffuse l’intégralité des épreuves, avec la possibilité de choisir la compétition que l’on souhaite regarder, sans changement éditorial. Les tarifs débutent à 5,99 euros par mois, avec un accès inclus à Paris 2024. Sur Max, un onglet Paris 2024 permet d’accéder à l’espace dédié aux Jeux olympiques. La première ligne montre les épreuves diffusées sur Eurosport 1 et Eurosport 2. La seconde permet de choisir l’épreuve de son choix, en direct et sans pub. C’est ici que Max permet de désactiver les commentaires. Une fois que vous avez sélectionné une épreuve, cliquez sur le bouton sous-titre en bas du lecteur pour accéder aux réglages audio. Vous pourrez passer de Français à Aucun dialogue, ou choisir une autre langue si elle disponible (un match France-Suède proposera du français et du suédois, en toute logique). Cette option est aussi disponible sur un téléviseur, depuis l’application Max. Il suffit généralement de toucher les flèches de navigation pour faire apparaître l’option sous-titre. La logique est la même pour la magnifique cérémonie d’ouverture de Paris 2024, que Max propose en version 4K Dolby Vision sur son site. 13 langues sont proposées, au même titre que l’option Aucun dialogue. La musique devient alors beaucoup plus forte, ce qui permet de vraiment profiter de la fête, notamment lors des séquences dansantes.
Sur France 2, France 3 ou Eurosport, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, ainsi que l’intégralité des épreuves, sont commentées par des journalistes. Certaines personnes ne peuvent se passer des commentaires, d’autres aimeraient regarder une compétition passivement, et se contentent des bruits du stade. Bonne nouvelle, il est possible de tout couper ! Depuis le 26 juillet, la France vibre au rythme des Jeux olympiques de Paris 2024. La cérémonie d’ouverture a captivé plus de 22 millions de téléspectateurs, soit la seconde plus grande audience de l’histoire de la télévision française. La grande majorité du public était branché sur France 2, qui commentait la cérémonie en plateau. Saviez-vous qu’il est possible de revoir la cérémonie sans aucun commentaire, en se contentant des images et du son envoyés aux diffuseurs ? Un bon moyen de profiter du spectacle, d’autant plus que le mix sonore n’est pas le même (la musique est bien plus forte). Il est aussi possible de désactiver les commentaires sur toutes les épreuves, en direct ou en replay, pour laisser un match en arrière-plan sur sa télé sans perdre en concentration. Malheureusement, France 2 et France 3 n’offrent pas la possibilité de désactiver les commentaires. Seul Eurosport, via le service de streaming Max, permet de choisir la langue des commentateurs, voire de se contenter du son transmis par les diffuseurs. La bonne nouvelle est que Max diffuse l’intégralité des épreuves, avec la possibilité de choisir la compétition que l’on souhaite regarder, sans changement éditorial. Les tarifs débutent à 5,99 euros par mois, avec un accès inclus à Paris 2024. Sur Max, un onglet Paris 2024 permet d’accéder à l’espace dédié aux Jeux olympiques. La première ligne montre les épreuves diffusées sur Eurosport 1 et Eurosport 2. La seconde permet de choisir l’épreuve de son choix, en direct et sans pub. C’est ici que Max permet de désactiver les commentaires. Une fois que vous avez sélectionné une épreuve, cliquez sur le bouton sous-titre en bas du lecteur pour accéder aux réglages audio. Vous pourrez passer de Français à Aucun dialogue, ou choisir une autre langue si elle disponible (un match France-Suède proposera du français et du suédois, en toute logique). Cette option est aussi disponible sur un téléviseur, depuis l’application Max. Il suffit généralement de toucher les flèches de navigation pour faire apparaître l’option sous-titre. La logique est la même pour la magnifique cérémonie d’ouverture de Paris 2024, que Max propose en version 4K Dolby Vision sur son site. 13 langues sont proposées, au même titre que l’option Aucun dialogue. La musique devient alors beaucoup plus forte, ce qui permet de vraiment profiter de la fête, notamment lors des séquences dansantes.
La nouvelle face avant est certainement l’élément qui symbolise le plus la nouvelle génération de Tesla Model 3. À la découverte du modèle sur le salon de Munich, les premières impressions étaient assez mitigées sur ce nouveau design. Tesla semble perdre un peu de sa singularité avec cet avant plus conventionnel. Un capot plongeant avec un avant pointu, c’est déjà aussi ce que l’on retrouve sur la Hyundai Ioniq 6, la MG4 ou la BYD Seal (sans parler des supercars). L’ancien bouclier avant – le « bec de canard » comme l’appellent certains propriétaires – n’a jamais fait l’unanimité, mais celui-ci devrait continuer à diviser. Assurément lié au fait que l’on est (souvent) réfractaires aux changements, il a fallu ces quelques semaines pour se faire à ce nouveau design avant. Il en va de même avec l’arrière du véhicule et la forme des nouveaux feux. Passé l’effet de nouveauté, le changement est adopté. Il reste quand même une petite réserve, est-ce que Tesla se démarquera assez sur la route dans les prochaines années ? Il est trop tôt pour le dire tant que les véhicules ne circuleront pas dans le flot des autres voitures. Tesla a par contre fait un choix discutable en conservant la malle de coffre plutôt qu’un hayon. C’était pourtant un des reproches récurrents que les fans de la marque auraient espérés voir changer sur le nouveau modèle. C’est finalement ce détail qui chagrine toujours un peu.
Le salon de Munich ouvrira ses portes le 5 septembre 2023. Mais, Tesla a un peu d’avance. Dans un communiqué envoyé à la presse le premier jour du mois, l’entreprise américaine a officialisé la nouvelle version de la Model 3, longtemps connue sous le nom de code Highland, six ans après son arrivée. Il s’agit d’un restylage comme on a l’habitude d’en voir sur le marché automobile. Ce qui veut dire : en profondeur, il s’agit toujours d’une berline 100 % électrique. Les ingénieurs de Tesla se sont retroussé les manches pour marquer une vraie rupture entre l’ancienne et la nouvelle génération de la Tesla Model 3. À l’intérieur comme à l’extérieur, de nombreux changements sont à signaler. Le but est d’améliorer la qualité perçue (matériaux de meilleure facture), de renforcer l’aérodynanisme (donc l’autonomie) et, bien sûr, d’offrir plus de confort aux futurs propriétaires.