Description
Added on the 08/09/2025 14:44:29 - Copyright : Numerama
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’avenir d’Hawkins ne semble pas du tout radieux. Si l’on en croit la première bande-annonce du final de Stranger Things, dévoilée par Netflix le 16 juillet 2025, Mike, Dustin, Eleven, Will, Steve et les autres vont ainsi devoir tout mettre en œuvre pour empêcher Vecna de prendre définitivement le contrôle du monde réel. Mais pour y parvenir, ils devront probablement essuyer quelques échecs et se mettre en danger à de nombreuses reprises. Cette saison 5, très attendue, conclura donc l’une des meilleures séries d’horreur de tous les temps, avec perte et fracas. C’est en tout cas ce que laisse présager la musique qui accompagne cette bande-annonce explosive : le célèbre tube rock Child in Time de Deep Purple. Comme toujours, avec Stranger Things, le diable se cache dans les détails. Ici, il se dissimule précisément dans les paroles d’une chanson sortie en 1970 et restée culte pour des générations d’amateurs de rock. Les fameux cris de Child in Time de Deep Purple ont ainsi été choisis pour accompagner la première bande-annonce de la saison 5, faisant grimper progressivement la tension. Mais cela n’a rien d’anodin. Il s’agit ainsi d’un hymne écrit pour évoquer la guerre froide, période pendant laquelle se déroule justement Stranger Things, qui y a plusieurs fois fait référence dans sa saison 4. Un tube qui dure environ 10 minutes, également considéré comme une chanson protestant contre la guerre du Vietnam, et qui fait écho à plusieurs thèmes de la série Netflix. Les paroles, suggérant explicitement l’usage de la bombe atomique, invitent ainsi à « voir la ligne qui sépare le bien du mal », élément déterminant dans Stranger Things. La fameuse « ligne » peut aussi rappeler les différentes brèches ouvertes par Vecna à Hawkins, à la fin de la saison 4. L’antagoniste majeur de la série pourrait d’ailleurs être comparé à l’homme qui « tire à l’aveugle sur le monde », avec un lourd « prix à payer », alors que les balles fusent de toutes parts. Deep Purple conclut par un conseil : celui de « fermer les yeux, baisser la tête et attendre le ricochet ». Une suggestion que les personnages de Stranger Things suivront peut-être dans cette saison 5 très attendue, qui offrira une conclusion à cette immense série, avant l’arrivée des futurs spin-offs.
Sur France 2, France 3 ou Eurosport, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, ainsi que l’intégralité des épreuves, sont commentées par des journalistes. Certaines personnes ne peuvent se passer des commentaires, d’autres aimeraient regarder une compétition passivement, et se contentent des bruits du stade. Bonne nouvelle, il est possible de tout couper ! Depuis le 26 juillet, la France vibre au rythme des Jeux olympiques de Paris 2024. La cérémonie d’ouverture a captivé plus de 22 millions de téléspectateurs, soit la seconde plus grande audience de l’histoire de la télévision française. La grande majorité du public était branché sur France 2, qui commentait la cérémonie en plateau. Saviez-vous qu’il est possible de revoir la cérémonie sans aucun commentaire, en se contentant des images et du son envoyés aux diffuseurs ? Un bon moyen de profiter du spectacle, d’autant plus que le mix sonore n’est pas le même (la musique est bien plus forte). Il est aussi possible de désactiver les commentaires sur toutes les épreuves, en direct ou en replay, pour laisser un match en arrière-plan sur sa télé sans perdre en concentration. Malheureusement, France 2 et France 3 n’offrent pas la possibilité de désactiver les commentaires. Seul Eurosport, via le service de streaming Max, permet de choisir la langue des commentateurs, voire de se contenter du son transmis par les diffuseurs. La bonne nouvelle est que Max diffuse l’intégralité des épreuves, avec la possibilité de choisir la compétition que l’on souhaite regarder, sans changement éditorial. Les tarifs débutent à 5,99 euros par mois, avec un accès inclus à Paris 2024. Sur Max, un onglet Paris 2024 permet d’accéder à l’espace dédié aux Jeux olympiques. La première ligne montre les épreuves diffusées sur Eurosport 1 et Eurosport 2. La seconde permet de choisir l’épreuve de son choix, en direct et sans pub. C’est ici que Max permet de désactiver les commentaires. Une fois que vous avez sélectionné une épreuve, cliquez sur le bouton sous-titre en bas du lecteur pour accéder aux réglages audio. Vous pourrez passer de Français à Aucun dialogue, ou choisir une autre langue si elle disponible (un match France-Suède proposera du français et du suédois, en toute logique). Cette option est aussi disponible sur un téléviseur, depuis l’application Max. Il suffit généralement de toucher les flèches de navigation pour faire apparaître l’option sous-titre. La logique est la même pour la magnifique cérémonie d’ouverture de Paris 2024, que Max propose en version 4K Dolby Vision sur son site. 13 langues sont proposées, au même titre que l’option Aucun dialogue. La musique devient alors beaucoup plus forte, ce qui permet de vraiment profiter de la fête, notamment lors des séquences dansantes.
Sur France 2, France 3 ou Eurosport, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, ainsi que l’intégralité des épreuves, sont commentées par des journalistes. Certaines personnes ne peuvent se passer des commentaires, d’autres aimeraient regarder une compétition passivement, et se contentent des bruits du stade. Bonne nouvelle, il est possible de tout couper ! Depuis le 26 juillet, la France vibre au rythme des Jeux olympiques de Paris 2024. La cérémonie d’ouverture a captivé plus de 22 millions de téléspectateurs, soit la seconde plus grande audience de l’histoire de la télévision française. La grande majorité du public était branché sur France 2, qui commentait la cérémonie en plateau. Saviez-vous qu’il est possible de revoir la cérémonie sans aucun commentaire, en se contentant des images et du son envoyés aux diffuseurs ? Un bon moyen de profiter du spectacle, d’autant plus que le mix sonore n’est pas le même (la musique est bien plus forte). Il est aussi possible de désactiver les commentaires sur toutes les épreuves, en direct ou en replay, pour laisser un match en arrière-plan sur sa télé sans perdre en concentration. Malheureusement, France 2 et France 3 n’offrent pas la possibilité de désactiver les commentaires. Seul Eurosport, via le service de streaming Max, permet de choisir la langue des commentateurs, voire de se contenter du son transmis par les diffuseurs. La bonne nouvelle est que Max diffuse l’intégralité des épreuves, avec la possibilité de choisir la compétition que l’on souhaite regarder, sans changement éditorial. Les tarifs débutent à 5,99 euros par mois, avec un accès inclus à Paris 2024. Sur Max, un onglet Paris 2024 permet d’accéder à l’espace dédié aux Jeux olympiques. La première ligne montre les épreuves diffusées sur Eurosport 1 et Eurosport 2. La seconde permet de choisir l’épreuve de son choix, en direct et sans pub. C’est ici que Max permet de désactiver les commentaires. Une fois que vous avez sélectionné une épreuve, cliquez sur le bouton sous-titre en bas du lecteur pour accéder aux réglages audio. Vous pourrez passer de Français à Aucun dialogue, ou choisir une autre langue si elle disponible (un match France-Suède proposera du français et du suédois, en toute logique). Cette option est aussi disponible sur un téléviseur, depuis l’application Max. Il suffit généralement de toucher les flèches de navigation pour faire apparaître l’option sous-titre. La logique est la même pour la magnifique cérémonie d’ouverture de Paris 2024, que Max propose en version 4K Dolby Vision sur son site. 13 langues sont proposées, au même titre que l’option Aucun dialogue. La musique devient alors beaucoup plus forte, ce qui permet de vraiment profiter de la fête, notamment lors des séquences dansantes.
L’iPhone 17 Pro Max est-il l’élu ? Sur le papier, la proposition est alléchante. Apple semble enfin avoir compris qu’une clientèle « pro » existe et que « pro » ne veut pas seulement dire matériaux haut de gamme et prix élevés. Les iPhone 17 Pro misent sur des choses inattendues pour Apple, à savoir l’efficacité énergétique, le refroidissement de la puce, un nouveau gabarit plus épais pour une plus grosse batterie et des innovations attendues de longue date, en photo et ailleurs. Apple tient-il enfin son tueur de Samsung Galaxy S25 Ultra et de Google Pixel 10 Pro ? Un iPhone sans restriction matérielle ? C’est ce que nous avons voulu savoir dans notre test d’iPhone 17 Pro Max, que nous avons récupéré en avant-première une semaine avant sa sortie. Une fois n’est pas coutume, nous allons commencer notre test d’un nouvel iPhone par la chauffe et les performances. Il faut dire qu’avec l’iPhone 16 Pro et l’iPhone 15 Pro, Apple nous en avait fait voir de toutes les couleurs. Le passage au titane s’est avéré être un mauvais choix pour la gestion de la chauffe, après un appareil parfois trop brûlant pour être utilisé en pleine journée. Une des conséquences de cette chauffe excessive était une baisse de l’autonomie et de la luminosité de l’écran. Avec l’iPhone 17 Pro, Apple change tout : Adieu le titane, place à de l’aluminium qui s’étend désormais sur le dos de l’appareil, pour aider la chaleur à mieux se dissiper. Le téléphone est aussi plus épais, ce qui lui laisse plus de place pour « respirer ». La puce, qui était autrefois à droite du smartphone (quand on regarde le dos), est décalée au milieu, pour éviter que les bordures soient brûlantes. Le système est réparti horizontalement, alors qu’il était vertical dans le passé. Une couche de graphène recouvre le dos, pour absorber la chaleur et l’empêcher d’atteindre l’aluminium et le verre. Une chambre à vapeur liquide fait son apparition. Elle est par-dessus la puce et permet, lorsqu’elle chauffe trop, d’activer un système de refroidissement inédit dans un iPhone (mais relativement commun dans l’univers Android haut de gamme). Selon nos propres mesures avec une caméra thermique, Apple a réussi son coup. Nous avons comparé un iPhone 16 Pro Max et un iPhone 17 Pro Max et nos résultats sont saisissants. L’appareil en aluminium, même en veille, est plus froid que son prédécesseur en titane. Dès que les appareils sont sollicités (benchmarks, jeux vidéo, caméra en enregistrement…), la puce du 16 Pro Max s’emballe et fait chauffer tout le dos, parfois dans des proportions ahurissantes. Celle du 17 Pro Max commence à chauffer, refroidit, puis se stabilise. La chaleur ne s’étend jamais au bas de l’appareil, en tout cas dans cette configuration. Cela permet de le toucher sans problème : le 17 Pro Max est tiède, jamais chaud. Toujours selon nos mesures, l’iPhone Air pourrait connaître une surchauffe similaire à celle de l’iPhone 16 Pro, mais avec une concentration de la chaleur en haut du téléphone. L’immense problème de surchauffe des 15 Pro et 16 Pro semble derrière Apple, pour notre plus grand bonheur. Seul hic : quand l’iPhone 17 Pro charge, son dos devient vite brûlant, au point de faire ralentir le chargeur (le dos est vraiment très chaud, voire paragraphe sur la recharge). Un phénomène aussi observable lorsqu’il fait chaud dehors, qui laisse penser que l’iPhone 17 Pro Max pourrait être sujet à de la surchauffe l’été. Ce qu’Apple a corrigé est la chauffe de la puce, mais pas l’évacuation de la chaleur. Pour ça, il faudrait sûrement un ventilateur, ce qui semble difficilement envisageable sur un iPhone. Esthétiquement, l’iPhone 17 Pro est le plus gros changement chez Apple depuis l’iPhone 12 Pro. Le dos en verre intégral disparaît et est remplacé par un bloc d’aluminium « unibody » façon MacBook. Il n’y a donc plus de démarcation entre les bordures et le dos, l’iPhone est construit dans un moule unique. Au dos, il reste une découpe rectangulaire de verre pour la recharge sans-fil, qui offre à l’iPhone un aspect bicolore inédit depuis le modèle de 2007. Si le design est une notion subjective, nous avons de notre côté beaucoup aimé notre première semaine avec l’iPhone 17 Pro Max. L’aluminium renvoie une sensation de légèreté étrange, alors que l’appareil est plus lourd que son prédécesseur (233 grammes au lieu de 227). Les nouvelles formes plus arrondies de l’iPhone y sont sûrement pour beaucoup : Apple a considérablement amélioré son produit. La seule chose regrettable est que l’aluminium est assurément moins premium que le titane : on a l’impression d’être revenu en arrière. Mais, au vu des gains en performance, difficile de s’en plaindre. Quid des couleurs ? Nous avons reçu le 17 Pro Max en orange et le 17 Pro en bleu. Il est probable que l’orange soit la couleur star de 2025, puisqu’elle ne laisse personne indifférente (80 % des gens adorent, 20 % détestent). Il faut quelques heures pour s’y habituer, mais on tombe vite sous son charme.