Description
Added on the 04/04/2019 20:17:43 - Copyright : L'Alsace
Les élèves du lycée Kastler, investis dans le projet vocal de Lily Jung, poursuivent leur travail. Jeudi dans le cadre du Labo des jeunes #5 aux Dominicains à Guebwiller, leurs expérimentations, improvisations et interprétations ont donné à des représentations.
Pour cette nouvelle édition du Labo des Jeunes, les Dominicains de Haute Alsace à Guebwiller ont proposé de mettre à l’honneur la Neuenbourg. Ainsi une vingtaine d’élèves de l’option théâtre du lycée Kastler présenteront le 4 avril prochain leur création « Henri et les arbres », qui rend hommage à Henri Schlumberger et à sa passion pour les arbres.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’avenir d’Hawkins ne semble pas du tout radieux. Si l’on en croit la première bande-annonce du final de Stranger Things, dévoilée par Netflix le 16 juillet 2025, Mike, Dustin, Eleven, Will, Steve et les autres vont ainsi devoir tout mettre en œuvre pour empêcher Vecna de prendre définitivement le contrôle du monde réel. Mais pour y parvenir, ils devront probablement essuyer quelques échecs et se mettre en danger à de nombreuses reprises. Cette saison 5, très attendue, conclura donc l’une des meilleures séries d’horreur de tous les temps, avec perte et fracas. C’est en tout cas ce que laisse présager la musique qui accompagne cette bande-annonce explosive : le célèbre tube rock Child in Time de Deep Purple. Comme toujours, avec Stranger Things, le diable se cache dans les détails. Ici, il se dissimule précisément dans les paroles d’une chanson sortie en 1970 et restée culte pour des générations d’amateurs de rock. Les fameux cris de Child in Time de Deep Purple ont ainsi été choisis pour accompagner la première bande-annonce de la saison 5, faisant grimper progressivement la tension. Mais cela n’a rien d’anodin. Il s’agit ainsi d’un hymne écrit pour évoquer la guerre froide, période pendant laquelle se déroule justement Stranger Things, qui y a plusieurs fois fait référence dans sa saison 4. Un tube qui dure environ 10 minutes, également considéré comme une chanson protestant contre la guerre du Vietnam, et qui fait écho à plusieurs thèmes de la série Netflix. Les paroles, suggérant explicitement l’usage de la bombe atomique, invitent ainsi à « voir la ligne qui sépare le bien du mal », élément déterminant dans Stranger Things. La fameuse « ligne » peut aussi rappeler les différentes brèches ouvertes par Vecna à Hawkins, à la fin de la saison 4. L’antagoniste majeur de la série pourrait d’ailleurs être comparé à l’homme qui « tire à l’aveugle sur le monde », avec un lourd « prix à payer », alors que les balles fusent de toutes parts. Deep Purple conclut par un conseil : celui de « fermer les yeux, baisser la tête et attendre le ricochet ». Une suggestion que les personnages de Stranger Things suivront peut-être dans cette saison 5 très attendue, qui offrira une conclusion à cette immense série, avant l’arrivée des futurs spin-offs.
À Taipei, Nicolas a fait une découverte étonnante dans un centre commercial tech : des magasins arborant le logo PlayStation vendant principalement des jeux Nintendo Switch et Xbox. On y trouve même du rétro gaming, comme des jeux Wii. La boutique s'apparente davantage à un Micromania qu'à un vrai store PlayStation.
Il y a de ces modèles qui façonnent l’histoire d’un constructeur automobile. Chez Renault, ils sont nombreux, mais un en particulier a marqué son époque : la R5 Turbo de 1980. Cette version extrême de la très sage Renault 5 se dotait d’un turbocompresseur pour gonfler sa puissance à 160 ch, offrant des performances sensationnelle à l’époque. Un peu plus de 40 ans plus tard, en 2022, Renault présentait le concept délirant R5 Turbo 3E qu’on aurait cru tout droit sorti d’un jeu-vidéo. Depuis, le patron du groupe Luca De Meo avait en tête d’en faire un vrai modèle de série homologué pour la route. Complètement fou n’est-il pas ? Eh bien Renault va vraiment le faire ! Le PDG lui-même l’avait officialisé à la fin du documentaire sur le come-back de Renault. À l’image de son aïeule et sa technologie turbo en plein essor, la R5 Turbo 3E entend bien révolutionner la propulsion électrique. Nous avons pu découvrir la maquette de cette « mini-supercar » en avant-première à l’usine historique de Flins, dans les Yvelines (78). Renault annonce que le modèle de série lui sera fidèle à 95 %, comme l’a été la R5 E-Tech. Après nous avoir proposé un voyage dans le temps avec les modèles originels accompagnés de leurs versions de course puis le concept de 2022, Renault nous a conduits dans la salle finale où, derrière une fine brume, se cachait la Turbo électrique. Je suis resté tout simplement bouche bée face à ce monstre vêtu de jaune et de blanc, une livrée hommage à la R5 Turbo Tour de Corse (on y reviendra). Quelle gueule ! La sportive en impose et ses dimensions étonnantes le prouvent puisque la Turbo 3E mesure 2,03 m de large. C’est 22 cm de plus qu’une R5 normale. En longueur, la sportive gagne presque 16 cm. Démentiel. La face avant est encore plus néo-rétro que la version de base et reprend le museau carré du modèle originel, que ce soit au niveau du capot ou des projecteurs. Le bouclier proéminent est massif et fait un clin d’œil au passé avec ses trois ouïes sous le logo vintage. Tout a été pensé pour l’optimisation des flux d’air, à la fois pour l’appui aérodynamique, mais aussi pour le refroidissement des éléments de la voiture. Le milieu du capot accueille, par exemple, un énorme extracteur d’air, tandis que les ailes élargies à l’avant laissent s’échapper le flux en provenance des roues. Celui-ci s’écoule le long de la carrosserie et vient s’engouffrer dans les deux prises d’air de part et d’autre de la caisse, comme à l’époque. Ma partie préférée est sans aucun doute l’arrière, où le look bodybuildé de la Turbo 3E prend tout son sens. La voiture parait encore plus large avec des hanches carrées et un diffuseur rallongé. Le hayon gagne une arête noire frappée d’une inscription Renault en relief et du fameux « 5 ». Certains seraient tentés de dire que la Renault Turbo 3E n’est qu’une « simple » R5 sous stéroïdes. C’est bien plus complexe que ça. La Turbo est au final presque une voiture totalement différente. En effet, seulement quatre pièces sont communes avec la R5 E-Tech : les rétroviseurs, les poignées de portes quand il y en aura, le pare-brise (légèrement reculé) et bien sûr les feux arrière. La Turbo 3E repose sur un châssis en aluminium conçu spécialement pour elle par les ingénieurs d’Alpine et la carrosserie est en fibre de carbone. Pour Renault, « le but était de mettre au point un véhicule le plus léger possible, afin qu’il soit le plus agile et le plus performant possible ». Car oui, la R5 Turbo électrique affiche une fiche technique exceptionnelle digne d’une supercar : 540 ch (2 x 200 kW) et 4 800 Nm de couple 0 à 100 km/h : moins de 3,5 secondes 0 à 200 km/h : moins de 9 secondes 1 450 kg Vitesse max : 270 km/h a Turbo 3E est une pure propulsion, équipée de deux moteurs… dans les roues arrière ! Une première mondiale. Cette technologie permet de se passer de cardans entre les moteurs et les roues, offrant une meilleure restitution de la puissance. Les roues de 20 pouces chausse des gommes sport de 245 mm de large à l’avant, tandis que l’arrière grimpe à 275 mm pour faire passer la cavalerie au sol. En plus des caractéristiques d’une supercar, la Renault 5 Turbo 3E adopte des technologies électriques de pointe. La citadine ultra-sportive est le premier modèle du constructeur à posséder une architecture 800 V. Résultat, la recharge de 15 à 80 % se fait en seulement 15 minutes à une puissance maximale de 350 kW sur borne rapide. Idéal pour faire le plein entre deux sessions sur circuit. L’alimentation est assurée par une inédite batterie NMC (nickel-manganèse-cobalt) de 70 kWh. Conçue pour la piste, elle gère mieux sa température afin de pouvoir enchaîner les tours sans surchauffe. En utilisation normale, Renault promet plus de 400 km d’autonomie en cycle WLTP.