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Added on the 15/06/2019 16:46:18 - Copyright : Le Républicain Lorrain
La première Crazy Color Run de Bartenheim s’est élancée samedi depuis la place du marché. Une première réussie pour les organisateurs de l’ARCOBA qui ont pu compter sur un soleil radieux
Mulhouse voit le sport en couleurs: à l'issue de la traditionnelle fête des clubs sportifs, 3700 coureurs et marcheurs se sont élancés pour un parcours déjanté de 5 km qui s'est achevé dans un nuage de poudre colorée.
Qui n’a jamais rêvé de devenir invisible ? Les poulpes possèdent ce talent-là ! Une étude publiée le 18 novembre 2024 par des chercheurs de Washington met en lumière, pour la première fois, l’énergie nécessaire à cette transformation. Plusieurs animaux, dont les céphalopodes, des mollusques comme le poulpe ou la pieuvre, possèdent l’incroyable faculté de changer de couleur. Ils l’utilisent principalement pour se camoufler, chasser et communiquer. Les scientifiques ont toujours supposé que ce changement était énergivore, mais jusqu’à présent, ils n’avaient jamais mené d’étude quantitative précise sur ce sujet. Les chercheurs Sofie Sonner et Kirt Onthank de l’Université de Walla Walla à Washington viennent de publier, ce 18 novembre 2024, une étude dans laquelle ils mesurent (presque) précisément l’énergie nécessaire à cette transformation chez le poulpe. Ce sont, entre autres, les chromatophores, de petites cellules spécialisées, qui permettent le changement de pigmentation. Elles sont reliées au système musculaire et nerveux des céphalopodes. Ainsi, « quand on voit des images de poulpes colorés, cela signifie qu’ils ont les muscles de la peau tendus », explique Kirk Onthank, au magazine Popular Science. Mais comme tous les mouvements ou changements dans notre corps, cela nécessite une certaine dose d’énergie.
Voilà comment les Daltoniens voient le monde ! Pour être plus précis, voilà comment une personne atteinte de Tritanopie voit le monde, je t’explique ! Dans une rétine humaine, il y a ce qu’on appelle des cônes, ce sont de petits récepteurs sensibles à différentes longueurs d’onde de lumière. Généralement, on en à trois types différents : un photorécepteur qui identifie la lumière verte, un pour la lumière bleu et un pour la lumière rouge. Chez les personnes atteintes de Daltonisme, un ou plusieurs type de cônes sont déficients ! On parle par exemple de deutéranomalie quand la personne est moins sensible au vert, ou de deutéranopie, quand la personne ne peut pas du tout voir le vert. Il existe également la Protanopie, quand la personne ne voit pas le rouge, la Tritanopie, quand la personne ne voit pas le bleu, et même l’Achromatopsie, une forme de daltonisme très rare dans laquelle la personne ne perçoit aucune couleur. MAIS saviez-vous qu’il existe également un cône mutant sensible à une couleur située entre le vert et le rouge ? Ça s’appelle le Tétrachromatisme, et selon une étude, environ 2 à 3 % des femmes pourraient posséder ce gène, et donc quatre types de cônes au lieu de trois. Cette mutation permettrait donc de percevoir 100 fois plus de couleurs que le reste de la population, et surtout de percevoir beaucoup plus clairement les nuances !
C’était encore l’été, ce dimanche à Moineville sur la base de loisirs. Idéal pour participer à la Color Solan, une course sympathique de 5 km durant lesquels les organisateurs vous jettent de la poudre colorée ! Ils était un peu moins de 500 à s’éclater sur des rythmes techno lors de l’échauffement, avant de boucler les cinq bornes. Une atmosphère bon enfant, mais mieux vaut mettre tous ses habits à la machine à laver en rentrant !